Je pense qu’il serait plus simple, et dans une certaine mesure plus convenable, que je m’exprime en notre dialecte populaire et vulgaire. C’était presque l’aube, ou le point du jour, lorsqu’envahi d’une solitude lasse et de ces songeries pensives qui l’accompagnent, après force dépense et travail, je tombai soudain endormi. C’est alors qu’à peine né, le jour fut étranglé. J’en fus réduit à une nuit d’une teinte encore plus sombre que celle que j’avais passée auparavant. Ma fantaisie m’emmena dans une région d’une obscurité inexprimable...
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